nicolopeobeis

Pour différentes raisons difficiles à expliquer ici, j'ai rendu à Nicolas son collier de salope. Je lui souhaite une bonne continuation avec tous les Maîtres et Maîtresses qu'il pourra avoir à l'avenir.

Maîtresse Bénédicte.

Il est des journées qui vous réservent de bonnes surprises et la journée du mardi 19 septembre fut de celle-ci. Je m'en doutais bien puisque ma Maîtresse me l'avait laissé entendre, j'allais recevoir dans l'après-midi, propice aux rendez-vous professionnels, un sms contenant des instructions. Je n'ai pas été déçu. Juste avant un rendez-vous  qui devait se passer  après le déjeuner, j'ai reçu l'ordre d'aller, en plein milieu de mon rendez-vous, aux toilettes, je me pisser a fond sur la main gauche, et de lecher cette dernière pour qu'elle soit impecable : propre et sans odeur. Interdiction absolue de la laver d'une autre manière, obligation de faire des photos preuves, interdiction toujours de regarder ma queue.

Le moment fatidique est arrivé et je me suis exécuté. Je me suis retrouve le pantalon baisse, la queue sortie du slip au dessus des wc, portable photo d'une main droite et main gauche en train de se faire recouvrir depisse.

Je dois l'avouer j'ai été extrèmement heureux de cet ordre, terriblement excité de le réaliser. Je ne sais pas pourquoi mais  ça m'a mis de bonne humeur de devoir obeir a ma maitresse comme ça, simplement en fait, durant la journée et pas à un moment spécial réservé pour elle. J'ai adoré. La pisse n'avait par chance pas un goût trop prononcé. Mais je m'y suis fait un peu à force de devoir lecher la  goute depisse à chaque fois que je vais aux chiots.

Mais ce n'était rien en comparaison de ce qui allait m'arriver le soir même.

Après une journée de boulot et d'obligations familiales, me voilà tard chez moi, seul dans le salon, tranquile. Pas de gamin dans les pattes, ma  moitiée couchée et endormie. Seul, pas vraiment. J'étais connecté sur msn avec ma Maîtresse en direct. La webcam en marche. Et là j'ai appris ce que ça voulait d'ire d'obeir vraiement à quelqu'"un qui vous connez vraiement.

Après avoir appris que j'allais devoir porter d'ici moins de six mois un slip de bain blanc pour aller à la piscine, moi qui au jour d'aujourd'hui ai meme honte à la seule idee de mettre un slip de bain et d'aller dans une piscine, je me suis retrouver confronté à la pire des choses qui soit pour moi pour le moment : mon désir. Et ma maitresse en a bien joué .

Mes couilles sont pleines. Je n'ai pas le droit de me branler. Pas le droit de me vider de quelque façon que ce soit. Pas le droit de me mater les organes genitaux. Un calvaire car je suis un petit branleur frustre ma femme me faisant rarement l'honneur de me baiser. Quelques branles faites par elle quand meme. Mais cest tout. Pas le droit de lui en reclamer non plus.

Alors qd Maîtresse me demande de me mettre face à la cam, slip baissé aux chevilles, et de me branler librement : oh ! joie... J'ai bandé dur, super dur, j'étais terriblement excite car ces moments avec ma maitresse sont rares. Et voilà le moment de jouir. Et là : "jouis sur tes mains et leche". Or je ne pouvais pas jouir sur mes mains sans prendre le risque d'en foutre partout sur le beau salon familial. Et j'ai, bêtement, demandé l'autorisation de jouir dans un verre. Et la condition est tombée et je l'ai acceptée tout de suite pris que j'étais pas mon excitation et mon envie d'éjaculer ; je pouvais jouir dans un verre a cndition de boire de mon sperm.

J'ai jouis. Assez abondemment même. Et j'ai du en boire. Et j'ai été totalement dégouté. Je hais l'odeur du sperm, en plus le sperm était comme caillé avec des morceaux coagulé. Une horreur. Quand j'ai senti le sperm sur ma langue j'ai eu envie de vormi, pir eencore qd je l'ai senti couler dans ma gorge. J'ai été comme sonné.

Et dire que je demande à Maitresse de m'apprendre a avaler mon sperm.

Et dire que je souhaite etre un bon soumis au jus...




anti_bug_fcEt la

Dimanche 16  septembre

Journée tranquile avec peu de choses spéciales si ce n'est de grandes envies de masturbations interdites depuis lundi dernier et jusqu'à nouvel ordre. Toute s'est plutot passé le soir lors de mon dialogue journlier du soir avec Maîtresse. C'est là que nous avons beaucoup parlé une fois encore de ce que je avis apprendre, de ce qu'elle aime. Je suis pour elle une marionette, un evraie petite marionette dont elle peut faire ce qu'elle veut. Obeissante la marionnette en plus. Les couilles sont lourdes. Je sais bien que le sperm ne s'accumulent pas dedans mais j'ai physiquement l'impression que c'est pourtant le cas. A defaut de pouvoir me branler, je me mate les couilles et la bite, surtout quand tout pendouille bien ou alors quand je suis en demi-erection : j'adore ça.

Lundi 17 septembre

Je porte pour aujourd'hui et pour demain un slip blanc bien moulant, pas etroit mais qui serre et moule bien les fesses et comprime legerement le paquet. Comme le mien est peu rempli c'est presque tout plat. Un slip sans originalité de la marque dim. Je suis toujours interdit de masturbation et depuis aujourd'hui je n'ai plus le droit de regarder ma bite ou mes couilles. Je dis tut faire pour ne pas les voir. J'ai demande si je devais me changer sous une serviette quand ma femme n'etait pas la pour me surveiller. Ma maitresse m'a dit que ce n'etait pas la peine. Donc je me regarde plus la queue. DOmmage ca m'excite tant. Dans la soirée, long dialogueune fois de plus. J'ai annoncé à Maîtresse mes disponibilités prochaines (sans femme ni enfants). Demain après midi par exemple. J'espère qu'elle pourra etre connectée. Je dois en effet me donner dix coups de ceinture sur chaque fesse pour mon retard lors du dernier appel. Et le dois redonner les cops de planchettes, trois sur chaque cuisse et sur le cul. Je vais devoir faire des photos de cal bien sur.
Continuant a aller surle we trouver de nouveaux site, j'en ai trouvé pas mal sur les lieux d'exhib homo à paris : un blog génail avec pleins de détails sur les endroits où aller. Et un autre sur les recettes à base de sperm. Je les mets en liens pour les lecteurs. Je sais que je vais devoir en passer par là et àa m'excite un max de savoir que je vais devoir surmonter mon degout pour le sperm et apprendre à avaler comme une bonne salope.

Maitresse m'a autorisé à me branler, à me toucher normalement le sexe de dimance soir dernier très tard à lundi soir dernier. Comme je l'ai déjà écrit ici j'en ai profité à trois reprises. Le fait de n'avoir pas pu du tout coucher mon sexe et mes couilles pendant 48 heures m'a proccuré une sensation très étrenage que je ne connaissais pas. Jamais, et pourtant j'ai eu quelques plans avec des hommes dominants déjà, on ne m'avait imposé un tel truc . L'abstienence je connaissais et j'aime de plus en plus . Mais ne meme pas pouvoir remettre sa bite en place dans le slip ou a travaers un pantalon, ne pas la laver, de pas s'essuyer  aux toilettes, ne pas la toucher dans le lit ... Bref, comme si cette partie de moi ne m'appartenait pas réellement. La sensation est bien évidemment renforcée par le fait que la bite sorte du corps pendouille... J'ai me beaucoup. Depuis lundi soir par contre, je n'ai de nouveau plus le droit de me mastruber. Comme maitresse n'a pas donné de conigne spécifique sur le fait de me toucher ou pas, je me permet de toucher mon sexe qd besoin mais pas plus.

Nouveauté de cette semaine, deux contacts téléphoniques avec maitresse. Les débuts sont laborieux. La timidité pèse alors qu'elle est plutot absente des échanges par msn ou par mail. J'espère que le temps passant les choses vont se passer mieux.  Je suis prêt et j'aime vraiment que l'on me parle tres directement et  que l'on ne prenne pas de  "gants".  Mais cette exigence de coups de fils a  mal commencée. J'ai oublié le premier rendez-vous téléphonique et j'ai eu 11 minutes de retard pour le second. Du coup deux punitions : pour l'oubli j'ai du porter toute la journée de vendredi un string feminin offert par maitresse en dentelle marron clair totalement transparent ornée d'une jolie dentelle blanche sur les côtés. Pour faire un jogging  ca a été assez surprenant ; pas de douleur particulière mais la sensation d'etre bien tenu à la raie... Surprise : alors queje pensais que mon appareil genital n'allait pas tenir dans la poche avant assez etroite, j'ai ete oblige de constater qu'il n'en etait rien. Ma peite bite et mes petites boules avaient bien suffisemment de place. Comme quoi j'ai encore peche par orgeuil. Le plus dur en fait ca a ete de le porter toute la journee, sous mon jean notamment. Ma femme ne pouvait pas le savoir. Mais j'etais tres excite par cela  et en meme temps tres gene, psychologiquement géné. Je ne suis pas tres verse à la feminisation. Je n'y trouve aucun plaisir personne hors mis celui epprouvé par l'humiliation provoquée par la chose. Ironie : impossibilité mécanoque de pisser à une pissotiere en portant mon string, hier apres midi dans un bar alors que j'avais bu pas mal d'eau minerale. Un mec etait a cote de moi qui pissait fort et bien et moi impossible. Je me suis senti tres infereur avec mon string et mon incapacité à pisser comme un mec normal.

L'autre punition reste à exécuter dès que j'aurai un peu de tranquilité : je dois donner onze coups de ceinture sur chaque fesse. Là encore je dois avouer que cela m'excitea ssez. Je ne sais pas si ca serait le cas si c'etait ma maitresse qui me donne elle-meme et directement les coups. J'ai bien peur que ces derniers soient particulièrement forts. En même temps je le merite.

Après une coupure  convenue avec ma maitresse, reprise des règles et de la vie "normale". Les pensées de soumission et d'obéisance sexuelle me hantent toujours. Je ne sais toujours pas pourquoi je suis cerné par elle depuis mon adolescence. Depuis une semaine environ, presque chaque nuit, je reve d'une séance où je subirai non seulement l'humiliation de  l'inspection intime, mais aussi l'epilation, la fessée, la pisse, l'interdiction de me laver, le foutre à boire, à lécher, à succer, l'interdiction de jouir, la sodomie, l'exhibition devant des jeunes ou moins jeunes femmes, les humiliations verbales... J'en bande très fort? Mais je dis bien reocnnaitre que je suis incapable de  ranchir le cap de la rencontre pour le moment. Recevoir une fessée, sérieuse, ferme sans être attroce, au moins ça ce serait un grand progrès. Idem pour l'acceptation de l'exposition de mon corps. Je dois trouver près de chez moi unc lub avec des vestiaires collectifs, des douches communes, assez frequente pour etre sur d'etre vu nu à chaque fois et pour que ca reste assez impersonneL. Ca sera pareil avec la piscine. Tant de progrès nécessaires à faire qui, j'en suis certain, me praitront bien facile une fois le courage rassemblé et le pas franchi. Pour l'instant je suis un male frustré.